Pourquoi ce site ?

Oui, ce site pourrait passer pour raciste, avoir l’air discriminatoire ou paranoïaque, parler d’un problème qui n’existe pas ou jugé sans conséquence. Et pourtant…

[L’Observatoire du Grand Remplacement est né de l’initiative de citoyens inquiets de l’avenir de leur nation et de leur continent.]

Il semble évident, d’une part, que comme le dit si bien Renaud Camus, la France ou l’Europe avec un peuple différent ne seraient plus la France ni l’Europe. Changer entièrement le peuple, c’est à dire l’aspect ethnoculturel fondamental, l’aspect religieux, sociétal, historique, traditionnel et ancestral, modifierait forcément quasi-intégralement l’aspect et l’avenir de nations autrefois sans rapport avec leurs nouveaux habitants, et ce sans avoir besoin de porter aucun jugement de valeur que ce soit.

D’autre part, les Nations Unies et l’Union Européenne elles-mêmes (main dans la main ?) parlent du grand remplacement et même le préconisent, projetant allègrement l’avenir de l’Europe : ainsi, selon l’ONU, sous moins d’un siècle l’Europe ne serait plus composée que de moins d’un tiers d’autochtones, et encore moins dans les pays les plus occidentaux. Et plutôt que de proposer des solutions au problème de natalité des autochtones qu’ils soulignent, ces messieurs du mondialisme préconisent seulement comme traitement à la vielle Europe l’adjonction d’une immigration sans cesse plus forte afin de remplacer (« Replacement migration ») la population autochtone faiblissante. Et au-delà de cela, les chiffres de l’INSEE ou encore les statistiques de la drépanocytose parlent effectivement pour nous.

« En 2100, la population européenne autochtone constituera moins d’un tiers des habitants (170 millions) contre une majorité écrasante d’immigrés ou de personnes d’origine immigrée (pour un total de 520 millions d’habitants, soit quasiment le maintien de la population actuelle), L’ONU décide alors de « recommander » des quotas d’immigration visant le remplacement des Européens d’origine qui disparaissent suite à leur démographie ; c’est le concept de « remplacement de population » qui est mis en œuvre. « Tous les pays et régions étudiés dans ce rapport auront besoin d’un flux d’immigration pour éviter que leur population ne diminue. Cependant le niveau d’immigration, relatif à l’expérience passée, varie beaucoup. Pour l’Union européenne, la poursuite des taux d’immigration observés dans les années 1990 suffirait à peu près à éviter une baisse de la population totale, tandis que pour l’Europe dans son ensemble, il faudrait deux fois le taux d’immigration observé dans les années 1990. » (Extrait du rapport de l’ONU)

A la fin de la décennie 1990-2000, l’ONU recommandait une « importation » d’immigrés à hauteur de 4,5 millions d’individus par an, sachant que les populations déjà présentes d’origine immigrée aidaient les « européens de souche » à améliorer leur fécondité. Curieusement le chiffre est passé au cours de cette décennie à 13,5 millions par an. A ce rythme, les mêmes experts prévoient en 2050 que certains pays passeront le cap de la moitié (ou presque) de la population d’origine immigrée. Ce qui signifie que les grandes métropoles européennes n’auront bientôt plus de chrétiens que leurs monuments et leurs cimetières. Ces derniers étant les seuls endroits où les « blancs » seront majoritaires. » (Merci à La Voix de la Russie)

Nos dirigeants évoluent quant à eux dans leurs discours au fil des décennies : d’abord, ils niaient l’immigration massive (« vous exagérez, vous êtes paranoïaques… »), puis glissent petit à petit, en minimisant les conséquences, jusqu’à la situation actuelle où ils disent qu’il est trop tard (« Et alors ? C’est trop tard de toutes façons, et c’est très bien/c’est tant pis »). Ou même qu’il va falloir y passer sous peine de « méthodes plus contraignantes encore » (Sarkozy sur l’obligation du métissage en 2008).

Pendant ce temps-là le grand remplacement fait son office. En trente à quarante ans le nombre d’immigrés extra-européens est passé, pour la France, d’un chiffre presque négligeable à un nombre proche de 14 millions, soit un habitant sur cinq. Si ce n’était que ça… Mais la natalité et la poursuite de l’immigration ne font que rendre mathématiquement cette augmentation exponentielle, surtout si l’on sait que la natalité des autochtones ne permet pas le renouvellement de leur population, au contraire, elle diminue…

Si cela ne vous fait ni chaud ni froid, ou si cette perspective vous réjouit, alors vous êtes certes libres de penser ce que bon vous semble mais une chose est certaine : vous n’aimez pas la France ni l’Europe telles qu’elles sont actuellement. Et donc non plus son peuple. Vous faites probablement partie soit de cette pensée dominante de l’auto-flagellation qui passe son temps à entretenir une certaine détestation de soi (contrairement au réflexe naturel de l’intégralité des autres peuples au monde), soit vous faites partie de la frange la plus individualiste de l’Homme moderne issu de la société consumériste. Ou les deux. Et c’est très triste, désespérant.

L’Observatoire du Grand Remplacement est là pour étudier le phénomène, mais aussi et surtout pour informer des français qui ont le droit de connaître ce qui les concerne et que pourtant ils ignorent un maximum.

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6 commentaires

  1. « Les fauves urbains de l’économie souterraine qui brûlent rituellement des voitures ne sont pas des enfants d’ouvriers en révolte qui se battent par haine de la marchandise, mais des paumés incultes adorateurs du fric, de ses modes insanes et de toutes ses grossières insipidités. Bien loin d’être des persécutés en rupture, ce sont les enfants chéris du système de la discrimination positive de l’anti-subversif, les talismans médiatiques de l’ordre capitaliste à révérer.

    […] La stratégie immigrationniste du système marchand vise à substituer au prolétariat offensif et solidaire de la vieille histoire européenne, l’arlequin divisé et sans Passé, des multiples différences prosternées devant la loi du pécule. »

    Francis Cousin

    La quatrième génération de Mohamed s’appelle toujours Mohamed, la deuxième de Grzegorz, Pilar, Arindbjörn ou Chiaffredo s’appelait Robin, Ursule, Mireille ou Gregory …

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  2. Je ne suis pas d’accord avec les 2 premiers commentaires.
    A quoi peut bien servir des chiffres statistiques si on ne peut ni les analyser, ni se projeter, ni en tirer des conséquences, ni en interpreter les causes et effets et surtout si on ne peut agir dessus !
    Ni haine de l’autre, ni amour béat, seulement une gestion saine de la population d’un pays qui va dans un sens ou un autre.
    On a quand même le droit de ne pas accepter de vivre de telle ou telle façon. Il ne faut pas être naif sur les conséquences de ces chiffres et sur les expériences passées et de leurs conséquences : Apartheid en Af du Sud, en Israël, balkanisation et eclatement des sociétés, tension raciale aux USA, éradication d’une culture, Tibet etc.
    Pour ma part je pense qu’un homogénité de race, culture, religion, histoire, à 80% est le seuil ou toutes ces tensions sont gérables. Au delà, le risque est grand, d’éclatement, d’épapillement de la société, de communautarisme sectaires et violents etc.
    Nous en voyons les prémices sur ce seuil.
    Une faiblesse de l’éxécutif étant un facteur accélérant et ou aggravant.
    Donc, il faut informer et que la majorité de la population puisse décider en connaissances de cause du destin qu’il souhaite à son pays.
    Ne nous leurrons pas, l’homme est un animal grégaire, qui fait de son territoire en cas d’invasion, violente ou pas, un casus belli.
    C’est comme ça, et toute les paroles stériles et naives n’y changeront rien. Elles ne rendront que plus violent, car retardant le moment de l’action et des décisions à prendre, l’arrêt de cette politique migratoire unique dans l’histoire sur ces niveaux de chiffres…
    Très cordialement

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  3. Je trouve ce site extrêmement pertinent pour deux raisons:
    -Sources et détails des méthodes de calcul
    -Froide réalité des nombres qui apporte une lumière particulièrement crue et objective sur ce phénomène

    Cependant cette page tue toute possible classification du site comme « neutre et uniquement basé sur des nombres fournis par les institutions mondialistes ». A l’inverse cette page montre que ce site est fait par un identitaire et juge moralement le phénomène. Soudain ce site n’est plus un observatoire qui essaye d’être neutre mais une compilation de données faites par quelqu’un qui s’inquiète du phénomène.

    Je pense que ce site a un énorme potentiel et il devrait éviter tant que possible d’apporter des jugements de valeurs. Alors « pourquoi ce site ? » Soit c’est pour observer d’une manière crue la réalité implacable des nombres et des mathématiques: observer et que observer
    Soit c’est pour s’inquiéter d’un phénomène et juger le bon/mauvais de ses conclusions.

    Cordialement,
    Un scientifique.

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    1. Je comprends très bien votre point de vue, cependant il est difficile de porter ce type d’observatoire sans aucune raison originelle. Il n’y aurait guère de raison de mettre en place un tel observatoire s’il n’y avait pas un intérêt autre que les mathématiques, qu’il s’agisse d’une alerte pour ceux qui s’en inquiètent et/ou d’une simple source d’informations pour ceux qui se réjouissent du phénomène ou qui s’interrogent. Cette page apporte le moins possible de jugement de valeur mais considère tout de même que changer de peuple n’est pas le désir de la plupart des autochtones et peut même être particulièrement anxiogène. De là ensuite naît le besoin d’être informé le plus objectivement possible avec des chiffres froids et pertinents.

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    2. Bonjour,

      Ce que vous dites est compréhensible, d’autant plus que cela éviterait aux informations présentes sur ce site d’être dénigrées ou jugées fausses sous prétexte de l’orientation du ou des auteur(s).

      Cependant, les auteurs auront bon vouloir se montrer le plus neutre possible (les chiffres sont neutres, là n’est pas la question), le site va tout naturellement attirer des personnes déjà conscientes du phénomène, et les commentaires témoigneront de toute façon pour une grande majorité d’une certaine vue de l’esprit.

      Personnellement, je pense qu’il faut que ce site reste sans lien direct ou trop visible avec les milieux identitaires ou autres (même si ces derniers vont en faire sans aucun doute la promotion) : je suis moi-même sans aucun lien avec ce genre de mouvances (ne pouvant malheureusement pas le prouver sur internet, seule la confiance peut compter sur ce genre de questions), et pourtant la question du remplacement de population m’apparait non seulement pertinente, mais primordiale.
      Aussi, si le site ne peut montrer une neutralité totale, notamment car pour les personnes s’opposant à l’immigration de masse il est clair que des verrous idéologiques doivent céder, je reste persuadé que des discussions peuvent être menées sans violence et de manière constructive.

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  4. Invitation badine au métissage, en 1928. Extrait : « Le marron clair n’est-il pas un heureux intermédiaire qui équivaut à l’espéranto dans les relations internationales ? »

    « Sourires.
    Je voudrais essayer de convaincre Mme Lucie Delarue-Mardrus qui exhale, en une chronique très parisienne, quelques éloquentes lamentations au sujet des peaux bronzées à la mode, et dont le succès la scandalise … Les bains de soleil, les huiles répandues sur la chair nue ne lui disent rien qui vaille … Les femmes ont tort, explique-t-elle, de pasticher Joséphine Baker : la négrification de l’Europe se réalise suffisamment sur d’autres terrains qui ne sont pas des plages.
    Vous avez tort, Madame, de dissuader nos sœurs en Ève de tourner au noir – sans accès de neurasthénie, il est vrai – comme si la saison de blanc devait durer douze mois sur douze ! … Cet amour des couleurs sombres peut fort bien se justifier, d’autant que la morale, ici, reçoit pleine satisfaction. Il n’y a pas, que je sache, incompatiblité entre le bien et le hâle ! …
    D’abord il est excellent, de nos jours, de faire assavoir aux amis et connaissances qu’on revient du bord de la mer, signe incomparable de santé et de prospérité ! … Mais lorsque la preuve est inscrite sur la peau, elle est irréfutable. Mesdames, hâlez-vous lentement ; ce travail produira, à coup sûr, son petit effet autour de vous …
    Et puis les lois de l’hospitalité la plus large exigent que les Françaises accueillent les gens de couleur avec courtoisie en effaçant, autant que faire se peut, les différences trop choquantes. Le marron clair n’est-il pas un heureux intermédiaire qui équivaut à l’espéranto dans les relations internationales ? Un Locarno des races apaise donc les conflits fréquents dans les jeux de dames : blanches et noires se fondent en une peau commune agréable à la Société des Nations ! …
    D’ailleurs, si nous nous efforçons de ressembler aux nègres, les nègres, à leur tour, tenteront l’impossible pour nous imiter … Et aussi les jaunes et les rouges ! … La paix mondiale tient peut-être à cette confusion des couleurs.
    C’est pourquoi je dis à Mme Lucie Delarue-Mardrus :
    – Laissez, laissez les femmes de chez nous se vouer au noir dès leur jeunesse … Pourvu que, par leurs intentions, elles restent blanches comme neige ! … Leur goût actuel n’exprime qu’un grand élan de fraternité, rien de plus … Silence aux rivalités épidermiques : le noir et le blanc se valent depuis que triomphe le jus de réglisse ! … »
    (Le Petit Gringoire, « Sourires », dans “Ouest-Éclair” n° 9795 du 19 août 1928, page 1. — N.B.: L’article est reproduit intégralement.)

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